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    Si vous vous intéressez un peu au football, vous devez vous rappeler la fameuse phrase du britannique Gary Lineker, lors du Mondial de 1990, après que les anglais ont été battus par les allemands aux tirs au but :

     

    "Le football est un jeu qui se joue à onze contre onze, et à la fin, c'est l'Allemagne qui gagne…"

     

    On pourrait presque dire la même chose, en persiflant à peine, sur la politique menée par les communistes que nous sommes : nous échafaudons une stratégie, définissons collectivement un programme, nouons des alliances réfléchies, et à la fin, on nous demande de voter socialiste.

     

    Et comme disaient les Shadoks, "c'est tout pour aujourd'hui", je vous laisse réfléchir là-dessus…

     

     

     

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  • Je ne suis pas tout à fait en phase avec les discussions qu'il y a eu, dans  la section d'Ambert, lors de sa réunion du 16 mai, à propos des candidats pour les futures élections.

    Aussi, j'ai envoyé une contribution personnelle sur le site du PCF, que je remet ici sur ce blog.

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    L'élection présidentielle, telle qu'elle est définie par nos institutions, n'est pas favorable aux petits partis en général, encore moins à ceux qui envisagent, comme nous au Front de Gauche, de modifier en profondeur le système économique, nous le savons tous.

     

    Alors, pourquoi dire que c'est le programme qui compte le plus, alors que les programmes de 8 prétendants sur 10 se ressemblent comme 2 gouttes d'eau, et qu'un de ceux-là sera élu ? C'est, bien au contraire, la personnalité du candidat qui l'emportera dans ce type d'élection.

     

    Dans la bataille pour les élections législatives, il nous faudra par contre  affiner notre programme, pour convaincre de son utilité un électorat plutôt désabusé et abstentionniste.

     

    Mais dans le cadre de cette présidentielle, seules comptent 1 ou 2 idées phare, qu'il faudra présenter avec beaucoup de pugnacité, il faut enfoncer le clou, à la manière de ces publicités envahissantes et répétitives, mais qui finissent par perforer les cuirasses les plus épaisses.

     

    Prenons exemple sur les révolutions nord-africaines, et plus récemment sur celle qui nous vient d'Espagne : il ne faut plus accepter de subir les ravages d'un capitalisme dévastateur, dont les peuples ne veulent plus.

     

    Une seule idée importante : se débarrasser de tout ce qui peut ressembler à la dictature, même habillée des oripeaux d'une démocratie de pacotille, celle des marchés comme celle des hommes.

     

    Alors, dans nos alliances, ne cherchons pas ce qui nous divise, mais plutôt ce qui nous unit sur l'essentiel, recherchons le PPCM* en quelque sorte, par une volonté d'irénisme politique.

     

    Arrêtons de dénigrer nos partenaires du front de gauche, et de faire la petite bouche, comme s'ils étaient des concurrents. Ce sont au contraire des amis qui vont nous aider à botter le cul de tous les libéraux.

     

     

     

     

     

    PPCM : plus petit commun multiple, souvenez-vous de vos cours de math…

     

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    Si l'on peut se réjouir de la mort d'un homme, qui a basculé du côté obscur de la force, pour l'empêcher de continuer à faire du mal, cet assassinat pose tout de même un certain nombre de questions :

    Pourquoi cette photo truquée, qui a fait le tour des media ? Pourquoi cet empressement à se débarrasser du corps ? Pourquoi sa dépouille immergée (trop) rapidement ? Pourquoi cette absence de preuves crédibles ?

    Ces interrogations vont alimenter les doutes et conforter les adeptes du complot, car les choses ne sont pas claires.

    Mais au-delà de ces questions qui interpellent chacun d'entre nous, je m'étonne des méthodes employées, qui sont celles que l'on reproche justement aux extrémistes : commando armé illégal, fusillade, exécution sommaire.

    Le plus endurci des criminels doit avoir un procès avant de subir sa peine, c'est du moins ce que proclament nos démocraties, c'est ce qui nous distingue des dictatures, entre autres critères…

    Ainsi vengeance est faite, mais pas justice, comme le proclame à tort Monsieur Obama.

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  • Je voudrait corriger un peu ce qu'il y avait de catastrophisme dans mon billet du 1er mai, à propos du vote ouvrier pour Le Pen.

    Des quelques lectures d' analyse que j'ai pu voir sur Internet, il ressort que la présentation journalistique qui en est faite est plutôt fantaisiste. Voici, par exemple, un extrait d'un texte de Mélenchon

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