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    Sarkozy vire de plus en plus facho, il nous faut donc le virer, ça me paraît de plus en plus évident. Dimanche 6 mai, je mettrai dans l'urne un bulletin Hollande, sans état d'âme, mais sans illusion non plus sur l'homme et son programme. Ce ne sera pas un vote d'adhésion, mais ce sera un vote contre Sarko, pour l'éliminer.

     

    Car Sarko le facho, chacun peut le constater, emprunte de plus en plus au langage pétainiste, il parle du "vrai" travail, comme Pétain le collabo, alors qu'il nous fabrique un vrai chômage, il a même fait semblant de s'offusquer que le journal l'Humanité le souligne.

     

    Il est désespérément à la pêche aux voix de l'extrême droite. Mais il est encore plus que pétainiste, il a affirmé : "le travail libère".

     

    C'était le slogan nazi, inscrit au fronton de bien des camps de concentration : "Arbeit macht frei" (le travail libère).

     

    C'est hallucinant !

    Sarko fait führer

     

    Rappelons ici, pour ceux qui l'aurait oublié, ou ceux qui ne le savent pas, que le sieur Hitler, de sinistre mémoire, a été régulièrement élu, d'une façon démocratique, par une majorité de "braves gens".

     

    Ne recommençons pas les erreurs du passé, il nous faut combattre l'extrême droite et ses soutiens, quels qu'ils soient.

     

    Éliminons Sarkozy de notre République.

     

     

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    Le Front de gauche a tenu son dernier meeting de campagne le 19 avril, dans le hall N° 1 du parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris, plein à craquer (60.000 personnes).

     

    Dans les commentaires de France Inter, le 20 au matin, cela devient :  "Mélenchon n'a pas fait le plein, il y avait entre 30.000 et 60.000 personnes à son meeting…"

     

    Admirez l'ampleur de la fourchette, du simple au double, alors que les mêmes commentateurs annoncent sans ciller des précisions de 0.5% dans des sondages dont on sait pertinemment qu'il peut y avoir une variation de 3 points autour du chiffre annoncé.

     

    D'autre part, je n'ai jamais entendu ce genre de commentaire à propos des réunions de Hollande ou Sarkozy, qui sont pourtant loin d'avoir fait le plein !

     

    Selon que vous serez puissant ou misérable…

     

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    Mélenchon fonde sa radicalité sur l'humain. Il y a là quelque chose qui relève du poétique.

     

    Patrick Chamoiseau

     

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    Rendez-vous est pris pour le jeudi 19 avril, porte de Versailles, pour le dernier meeting du Front de Gauche. Ce sera le point d'orgue d'une campagne superbe, "emplie de bruit et de fureur", telles les trompettes qui ont fait s'écrouler les murailles de Jéricho…

     

    La condescendance amusée des journalistes pour ce "petit" candidat, qui avait la prétention de jouer dans la cour des grands, a fait place à d'autres attitudes : certains ont essayé de l'ignorer, d'autres ont sorti l'arsenal des insinuations et des coups fourrés. D'autres encore n'ont toujours pas compris qu'il a vraiment bousculé la donne, ils assistent sans le voir au mouvement du peuple qui se réveille. Ils ont un bandeau sur les yeux, celui de la Conformité Aux Marchés…

     

    D'autres mauvais coups viendront au cours de la semaine qui vient, insinuant le doute et s'en prenant à Mélenchon, il s'y attend, il l'a écrit sur son blog. En tout cas, il a fait la démonstration que c'est toute la gauche qui progresse, et, pour une fois, on a vraiment le choix de voter au premier tour d'une présidentielle pour le candidat qui nous séduit par son programme, sans crainte de voir une catastrophe comme la montée de l'extrême droite, en 2002, survenir à nouveau.

     

    Il a rendu le vote "utile" inutile, que le nôtre rutile et rougeoie ! Le peuple est en marche, les mois qui viennent vont le démontrer.

     

    Je vais conclure par une pensée de Coluche, vigoureuse à défaut d'être poétique : "si vous ne faîtes pas aujourd'hui ce que vous avez dans la tête, demain vous l'aurez dans le cul…"

     

     

     

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    Il circule en ce moment, sur la toile, un ingénieux montage tendant à démontrer que Georges Marchais (ancien secrétaire général du PCF) était enclin à stopper l'immigration pour les mêmes raisons que  celles invoquées par le Front national.

     

    C'est un mensonge, une falsification, un montage grossier à partir d'un courrier envoyé au recteur  de la mosquée de Paris par Marchais, à propos de l'entassement des immigrés dans des taudis insalubres, repoussés par les communes à direction "libérale", à tel point que cela avait conduit Mercieca, maire de Vitry, à démolir un de ces taudis au bulldozer.

     

    Cette action avait déjà été utilisée par les fachos pour dénigrer le PCF à cette époque (1981) selon leur bonne vieille habitude.

     

    Voyons plutôt ce que déclaraient les maires communistes, dans un appel pour la liquidation des bidonvilles : " … Pour le parti communiste français et ses élus, tous les travailleurs, quelle que soit leur nationalité, leur race, leur couleur, leur religion, sont frères de lutte et d'espérance. Ils ont des intérêts communs à défendre, face à leurs exploiteurs (…) Ce qui est en cause, c'est toute la politique d'immigration du pouvoir. Rien de sérieux n'est entrepris pour accueillir et faire vivre dignement des travailleurs qui contribuent au développement économique du pays."

     

    Vous trouverez d'autres explications sur la rouerie du FN en lisant un ouvrage  d'Alexis Corbière, "Le parti de l'étrangère", paru aux éditions Tribord, et un autre de Laurent Mafféïs, aux éditions Bruno Leprince, "Les cinq mensonges du Front national". Vous en apprendrez beaucoup sur un parti qui avance masqué pour mieux capter les voix des naïfs.

     

    Ne laissons pas passer de telles fourberies, combattons le FN.

     

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