• Sur le blog du PS ambertois (www.partisocialisteambert.fr) un article paru le 19 juin fait montre d'un grand mépris pour les électeurs Front de Gauche. Tombé dessus par hasard, j'ai rédigé le 27 un commentaire argumenté, sans concession mais poli et non injurieux, pour remettre les choses à l'endroit.

     

    Depuis, j'attends que le monsieur veuille bien accorder son "exeat" à mon billet, mais rien ne vient. Peut-être a-t-il une conception particulière de la liberté d'expression ? Mais ne soyons pas mauvaise langue, peut-être est-il en vacances. Quoi qu'il en soit, voici mon commentaire :

     

    Monsieur,

     

    Je ne vous connais pas, mais je sens que je vais beaucoup aimer ce que vous faites. Pour prétendre que le Front de Gauche et le Front National ne seraient qu'une même version d'un populisme exacerbé, il faut, soit ne pas connaître les programmes respectifs de ces deux groupes, ce qui est difficile à croire venant d'un homme rompu à la politique depuis des années, soit commettre une vilenie et une provocation qui ne vous grandissent pas.

    D'autres avant vous s'y sont risqués, ça n'en fait pas pour autant une vérité. Vous méprisez vos électeurs Front de Gauche, qui ont des "votes poubelles", selon vous, mais votent régulièrement pour un candidat socialiste au deuxième tour, loyalement, la preuve la plus récente par l'élection de François Hollande, à qui le Front de Gauche a apporté 4 millions de voix.

    Il semble bien que vous êtes devant un choix cornélien : soit rabattre votre caquet et respecter un peu mieux des gens de gauche qui ne pensent pas comme vous, soit vous attendre, si vous continuer à les mépriser, à être battus dans les élections à venir. Mais je pense  qu'alors, au lieu de vous interroger sur vos actions, vous les rendrez responsables de la montée de l'extrême droite… 

     

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  • Bien souvent le jeudi matin

    Ramenant mes vieux bouquins,

    Il m'arrive de croiser un regard

    Gai et vif tel celui du renard.

    Il est réconfortant et peu banal…

    Tu es toujours là, Brigitte, mon amie,

    Tu m'accueilles d'un sourire amical

    Et ça fait du bien, je t'en remercie.

     

     

    Patricia, ombre et amie fidèle

    À l'œil noir, Patricia la rebelle,

    Tu es là toi aussi, précise,

    Remettant en place l'imprudent

    Innocent qui dirait des sottises

    Car tu ne lâches rien évidemment.

    Il me faut des amies et des livres,

    Alors, avec vous c'est la joie de vivre.

     

     

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  • Ce matin, sur France Inter, un édito de Thomas Legrand : "Non, l'extrême gauche ce n'est pas pareil que l'extrême droite".

    En effet, il serait temps de s'en rendre compte, et d'arrêter cette confusion malhonnête, qui vise à renvoyer dos à dos les extrêmes, incitant les braves gens qui sont, eux, raisonnables, à jouer les Ponce Pilate et à ne pas se mêler d'extrêmes qui ne rêveraient que de s'étriper.

    Tout d'abord, une digression : pour les politiques, tout ce qui est à gauche du PS solférinien est baptisé "extrême gauche". C'est en effet très commode pour faire croire que "ces gens-là" (nous) sont excessifs et non crédibles.

    Non, ce n'est pas pareil, on ne peut pas confondre : la gauche est pour le partage, la justice, la solidarité, l'entr'aide, l'universalisme, pour ne citer que les valeurs premières qui font que l'on se sent de gauche.

    L'extrême droite c'est la division, l'exclusion, le nationalisme étroit, la haine de l'autre.

    Ceux qui font semblant de nous confondre sont des salopards, et je pèse mes mots…

     

     

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  •  

    Mes amis, je vous le dis :

    J'ai mis dans ma besace

    Tant de souvenirs jolis

    De ce séjour en Alsace

    Que j'en suis tout ébloui.

     

     

    Je n'oublierai pas ce pays

    Où rien vraiment ne lasse,

    À part peut-être la pluie

    Qui elle en fait nous agace.

    On veut du soleil, à cor et à cri

     

     

    Vous, marcheurs du jeudi

    Qui traînez vos carcasses

    En attendant le frichti,

    Si vraiment je vous les casse

    Dites-moi : ça suffit !

     

     

    Blague à part, mes amis

    Avec vous les jours passent.

    Que l'on soit là ou bien ici,

    L'amitié prend toute sa place

     

    Et c'est le charme de la vie

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