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Marcher
Quand vient la nuit
Dans les rues désertes
Je trompe mon ennui
D'un pas si lourd
je vais et chemine
Et je reste sourd
Tout seul je rumine
Pourquoi ce spleen
Qui lentement me ronge
Dans l'ombre opaline
Tout n'est que songe
Seule surnage
Ta tremblante image
Qui m'est si chère.
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Commentaires
3vivitiercSamedi 2 Novembre 2013 à 19:41Merci, Gérard, de tes si jolies poèmes, et reste amoureux encore de très longue années. Mille bisous à vous deux.
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tres romantique le cousin