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Au fond des bois
Le silence des bois
réjouit mon cœur.
Au loin un faible aboi
comme un écho moqueur.
Des cépées arrondies,
cages grand ouvertes,
sous le couvert assourdi
de la futaie verte.
On imagine les dryades,
les satyres et les faunes...
Le cœur bat la chamade
et la peur fait rire jaune.
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