• élection, piège à ...

     

    Feu le centralisme démocratique a été abandonné, car il était trop centralisé, mais pas assez démocratique. Il avait cependant l’avantage de resserrer la discipline autour d’une décision, d’une cause, qui étaient alors unanimement défendues. (Bon, je vais me faire traiter de stalinien…)

    Sans revenir en arrière, ne peut-on pas demander, au moins, un peu de loyauté à ceux qui ont été élus sur des positions de classe ?

    Ceux-là n’ont-ils pas le respect des militants de terrain ? Ceux qui ont fait campagne avec eux, pour eux ? Qui ont payé les factures de leur beau journal de campagne en quadrichromie, où on explique qu’ils sont très efficaces ?

    Savent-ils seulement qu’en refusant d’être solidaires d’un véritable groupe « Front de Gauche », ils viennent de torpiller tous les efforts du candidat à la candidature, qui ne peut plus apparaître comme le rassembleur autour d’un projet qui ne serait alors pas vraiment partagé ?

    Je pense qu’une telle erreur est irrattrapable, et que l’ensemble du Puy-de-Dôme en payera lourdement le prix.

    J’arrête là pour aujourd’hui, l’amertume est trop forte et la colère pas encore retombée.

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