Dans la Haute-Loire (43) vient de se constituer, pour les élections cantonales, une liste d'union baptisée "Front unitaire pour une gauche de lutte et d'espoir".

Voici un extrait de ce qu'en dit "Renouveau", l'hebdomadaire catholique de la Haute-Loire, dans son édition du 22 janvier :

La fédération pour une alternative sociale et écologique (FASE), le Front de Gauche (gauche unitaire, Parti communiste français, Parti de gauche) le nouveau parti anticapitaliste (NPA) et le PCOF présenteront des listes communes pour les prochaines élections cantonales. Si aucune tête de liste n’a encore été dévoilée, ce front unitaire devrait se présenter dans la quasi-totalité des cantons altiligériens.

          D’après les représentants de ces partis, les volontés sont là et chacune des entités qui composent ce front devrait présenter un candidat titulaire. Tous « seront des salariés ou des retraités qui ont activement participé contre la loi sur les retraites et sont impliqués dans la vie syndicale et associative. »
          En choisissant des figures « activistes », l’extrême-gauche (sic) entend cristalliser autour des ses candidatures « la frustration de tous ceux qui se sont mobilisés à l’automne dans le département ». Le mouvement se veut fédérateur : « Nous  souhaitons que la rage de la population se porte sur les bonnes causes, que  les gens ne se trompent  pas de colère et ne portent pas leur vote vers le Front national par exemple. »
         Les listes définitives de ce nouveau front unitaire seront connues au début du mois de février.

Alors, ce qui est possible là devrait être possible ailleurs, non ? Qu’en pensez-vous ?