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    Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre. Et finit par perdre les deux.

     

    Benjamin Franklin

     

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  • Je vous ai délaissés longtemps, il est temps de reprendre le courant. Il faut se retrousser les manches, se rendre utile auprès des gens.

    à l'épicerie solidaire, nous recevons des gens dans la panade, cela m' a inspiré ces deux poèmes, que je vous livre :

     

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  • Je reproduit ici un petit poème trouvé sur la toile (merci à l'inconnu poète...) et qui reflète assez bien mon état d'esprit aujourd'hui :

    Mon amant me délaisse
    O gai, c'est fini la rose
    Mon amant me délaisse
    O gai, c'est fini la rose
    Et je sais bien pourquoi
    C'est a cause de Valls et Macron...

    J'irai en voir un autre
    O gai ,vive le rouge
    J'irai en voir un autre
    O gai, vive le rouge
    et je sais bien pourquoi
    On ne me le fera pas deux fois!

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  • Michel Etiévent rapporte avoir vu sur un mur, en déplacement à Genes, le slogan suivant :

    SE UCCiDONO NOSTRI SOGNI, SOGNEREMO PIU FORTE

    ce qui veux dire : "s'ils tuent nos rêves, nous rêverons plus fort."

    Je trouve ça très beau et très fort.

    Je complèterai ce post, à l'approche des élections régionales, par cette pensée de Jaurès, écrite en 1899 dans "La pensée socialiste" :

    "Il faut éviter que la préoccupation électorale, en ce qu'elle a de trop personnel et de trop étroit, abaisse notre idéal."

     

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    En cette Ariège lointaine

     

    aux pieds des Pyrénées,

     

    hors d'agitation mondaine

     

    ici, un bel amour est né.

     

     

     

    Un amour passionnel

     

    c'est celui de Julien

     

    pour le cœur de Chanel

     

    soyez heureux c'est bien.

     

     

     

    Dans cette ville altière

     

    qui s'appelle Mirepoix,

     

    d'eux nous étions fiers

     

    car ils étaient les rois.

     

     

     

    Fallait voir le cortège

     

    dans les rues du village

     

    les klaxons en arpèges

     

    la joie sur les visages...

     

     

     

    Ils vont s'en aller

     

    pour d'autres cieux,

     

    pas besoin de pleurer

     

    nous penserons à eux.

     

     

     

    Pour Julien et Chanel

     

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